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Emilie Guérineau, marraine de l’Imoca APIVIA
« Une passion grandissante pour ces sportifs de l’extrême. »

Emilie Guérineau, marraine de l’Imoca APIVIA  « Une passion grandissante pour ces sportifs de l’extrême. »
transat jacques vabre normandie le havre

Emilie Guérineau, marraine de l’Imoca APIVIA
« Une passion grandissante pour ces sportifs de l’extrême. »

Émilie Guérineau est la marraine de l’Imoca APIVIA. Collaboratrice chez Apivia Courtage depuis 4 ans au poste de chargée de statistiques, elle nous livre son ressenti, son sentiment de « terrienne » sur la Transat Jacques Vabre de Charlie et Yann.

En tant que marraine, comment suivez-vous la course de l’Imoca APIVIA ?

Émilie Guérineau : « J’ai eu la chance d’être présente sur le village de la Transat, de dire « au revoir » à Charlie et à Yann avant qu’ils ne quittent le bassin Paul Vatine. J’étais également présente sur l’eau pour le départ de l’Imoca APIVIA. Je suis passionnée de vitesse et de course automobile, je ne connaissais pas du tout la voile et son langage technique. Je vais donc à la pêche aux informations pour comprendre les termes de navigation et mieux appréhender ce qui se passe sur l’océan. La voile est l’un des rares sports, qui mêle sur la ligne de départ femmes et hommes de manière totalement égale. Je me sens prise d’une passion naissante et grandissante pour ces sportifs de l’extrême ! »

Regardez-vous la cartographie/position du bateau ?

E.G. : « C’est addictif ! Je regarde très régulièrement la position du bateau, sa vitesse, l’orientation du vent. Charlie et Yann sont toujours présents dans un coin de ma tête, tout au long de la journée. Je suis les publications sur les réseaux sociaux, et quel plaisir de voir les témoignages en vidéo, audio… et les quelques moments humoristiques qu’ils nous font partager. On aimerait être encore plus proche , les soutenir en direct. »

Comment suivez-vous la course avec vos collègues ?

E.G. : « Après le départ, nous avons fait le tour des bureaux pour distribuer des posters et désormais, le bateau s’affiche partout dans les locaux. Les collaborateurs sont enthousiastes, beaucoup suivent de près la course. Nous avons mis en place une communication interne et un jeu « Où est Charlie ? » pour les personnes qui le souhaitent. C’est un réel plaisir de partager les émotions et expériences vécues. »

Ressentez-vous une fierté à être la marraine de ce bateau ?

E.G. : « C’est un magnifique projet. Une belle aventure humaine, d’équipe, de travail en collaboration. Charlie et Yann sont attachants ; on ne peut qu’avoir envie d’être derrière eux et de les pousser. De croire en eux.
J’ai embarqué ma famille, mes amis, mon fils dans cette aventure ! »

En quoi Charlie et Yann sont à leurs niveaux une source d’inspiration ?

E.G. : « Ils font d’énormes sacrifices pour vivre leur rêve, que ce soit sur leurs conditions de vie à bord, leurs vies de famille. Je suis très admirative. La voile, c’est comme la vie. Il faut toujours avancer malgré les imprévus, les aléas, les coups durs, les tempêtes. Il ne faut jamais baisser les bras et se battre, ne pas rester dans sa zone de confort. L’horizon finit toujours par s’éclaircir, et le temps devient plus clément pour avancer sereinement. Je crois en ça, et c’est ce que j’essaie d’inculquer à mon fils. »

Avez-vous un message d’encouragement pour Charlie et Yann ?

E.G. : « Nous croyons en eux et en ce magnifique bateau. Nous sommes avec eux en permanence par la pensée, nos cœurs battent et suivent les alizés. Merci de nous embarquer dans ce très beau voyage. Le rêve continue. Allez Charlie et Yann ! »